dimanche 12 janvier 2014

Pensée Dominicale


5 commentaires:

  1. Michel Dambon
    C'est le risque, lorsque c'est trop lumineux et trop luxueux on en prend plein les yeux, comme ils ne sont pas suffisamment grands,on les ferme pour stocker d'avantage dans l'imaginaire et l'infiniment plus grand.
    Certains n'en reviennent jamais tellement le spectacle est grand, mais attention les choses retrouvent vite leur réalité mais ce qui est pris est pris.
    Bonne journée

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  2. Sylviane Letertre12 janvier 2014 à 15:28

    C'est avec grand plaisir que nous accueillons sur ce blog un nouvel hôte dominical pour tenir compagnie à Brigitte Guillaume, j'ai nommé monsieur Michel Dambon.
    Bienvenue à lui !

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  3. Brigitte Guillaume12 janvier 2014 à 15:36

    Ne fermez pas l'œil de la nuit
    Il en perçoit les plus belles choses
    Que voyez-vous à l'œil nu
    Parmi ces formes qui s'imposent
    Quand l'horizon s'est allongé
    Pour ainsi mieux prendre la pose
    Seul le soleil l'a caressé
    Avec le respect qui s'impose
    Mais penchez-vous encore un peu
    La vie est à celui qui ose
    A cet instant fermez les yeux
    Comme on respire l'eau de rose
    Et gardez derrière vos paupières
    En évitant qu'elles s'ankylosent
    Toutes ces visions éphémères
    Pour qu'elles se posent se superposent
    Un beau jour rempli de tristesse
    Quand votre vague à l'âme implose
    Piochez avec délicatesse
    Dans toutes ces beautés encloses
    Et délectez-vous sans manière
    Car vous savez bien je suppose
    C'est plus souvent un cache-misère
    Que de garder les paupières closes

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  4. Michel Dambon
    Pour répondre à Sylviane Letertre
    C'est avec plaisir et grand honneur que de m'accueillir sur le blog Percheron International pour y échanger quelques mots à moi. Ce sont des mots ou réflexions de plombier à la retraite du fond de la Dordogne, passionné avant tout de chevaux de traits et d'attelage de loisir.
    Tenir compagnie à Brigitte Guillaume le mot est fort.
    Lire Brigitte Guillaume c'est une montagne et même un univers de mots qui nous sépare.
    Chez nous on dit ne mélange pas torchons et serviettes.
    Torchons que je suis,Brigitte est la belle serviette blanche aux initiales brodées du trousseau de mariage de ma mére,qu'elle dressait le jour des grands repas de famille.
    Mes amitiés chevaline
    C

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  5. Brigitte Guillaume13 janvier 2014 à 06:12

    Pour répondre à Michel Dambon...
    Merci pour cette comparaison que je reçois comme un cadeau.
    Je possède aussi un très beau service de table, brodé avec application par ma grand-mère, pour moi, et j'y tiens comme à la prunelle de mes yeux. Il n'y a pas d'initiales mais des fleurs sorties tout droit de son imagination...
    Et justement, en parlant d'imagination, elle appartient à tout monde...à condition d'oser puiser un peu plus loin dans ses pensées.
    Vous êtes plombier à la retraite...et alors ?
    Je suis agricultrice...et alors ?
    Laissons-nous aller à nous exprimer tant que Sylviane et Jean-Léo nous accueillent et espérons être rejoints encore et encore...
    A bientôt !

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