En ces temps incertains, nul ne sait vraiment de quoi l'avenir sera fait. Peut-être devrons-nous nous serrer la ceinture. Alors, au moment de la boucler, assurez-vous que vous avez bien une boucle "percheron" comme celles proposées, dans le passé, par la Société percheronne américaine.
Documents Collection Jean-Marie Rousset
Le cheval de travail américain.
"Le cheval a joué un rôle extrêmement important dans le développement de l'agriculture depuis le début des années 1800. Charrues, faucheuses, et moissonneuses tirées par des chevaux ont ouvert la voie à l'agriculture hautement mécanisée d'aujourd'hui. Dans les années 1850, les fermiers américains ont commencé à importer des chevaux d'Europe qui avaient la taille, la résistance et le caractère pour tirer de lourdes charges et de gros matériels agricoles. Ancêtres des réputées races de chevaux de travail d'aujourd'hui, ces chevaux étaient utilisés tout au long de l'année pour labourer, préparer le sol, planter, sarcler, récolter et tirer des charges."
2 commentaires:
Jean-Marie Rousset a-t-il aussi une collection de bretelles venant des anciens éleveurs de Percherons, Français ?
Brigitte, l’idée en soit de collectionner des anciennes bretelles d’éleveurs de percherons Français ne m’était pas encore venue à l’esprit mais puisque la question est posée, pourquoi pas ?
Les bretelles étant apparues quelque cent ans avant la création de la Société Hippique Percheronne de France c’est donc possible.
Notons au passage que le mot bretelle vient de l’Allemand « brittil » qui signifiait rêne, la rêne de l’harnachement du cheval, bien sûr.
Pour en revenir à la collection de bretelles la difficulté sera d’en trouver qui auront su résister aux différentes remontées de bretelles de leur porteur, mais si vous en connaissez c’est peut-être le début d’un nouveau TOC…
Amicale pensées et continuez à nous régaler de vos commentaires.
Jean-Marie
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