mardi 6 novembre 2012

"L'Histoire De Rien"

Faire naître des espoirs et ne pas donner suite est toujours dangereux. L'intégration des utilisateurs au sein de la SHPF, avec la création d'une Commission Utilisation, avait suscité un début de mobilisation. Le Mondial passé, des utilisateurs se sont sentis bien seuls et sans personne avec qui communiquer.
L'un de ces déçus, Guy Fourmont, nous raconte dans le détail l'histoire de... "rien".

"Le 23 octobre, sur ce blog, les commentaires abondaient. Une nouvelle fois les utilisateurs s’indignaient - chacun à sa manière – de l’absence d’avancée dans la création d’une commission utilisation au sein de la SHP.

  • Réunion du 14 janvier 2011.

Voici depuis 2011 l’histoire de « rien » :
Le 14 janvier 2011, une réunion s’est tenue dans le but de rassembler les utilisateurs, et nombre d’adhérents étaient présents. D’autres réunions ont suivi dans le but d’amorcer la création d’une commission utilisation.
Le 11 février, la société « Parcours conseil » remettait le rapport intitulé « Schéma de développement de la filière du cheval percheron »
Le 5 mars 2011, lancement du Mondial percheron
Le 23, 24 et 25 septembre 2011, Mondial percheron
Le 17 décembre 2011, retour Mondial et réunion de travail animée par « Parcours conseil »
Le 11 janvier 2012, la société « Parcours conseil » remettait le rapport intitulé « Retranscription des ateliers du 17 décembre ». À noter que la SHP n’a pas diffusé ce rapport.
Le 31 mars 2012, lors de l’Assemblée générale de la SHP, une question écrite a été posée concernant la commission utilisation. Celle-ci jugée embarrassante est restée sans réponse précise.
Le 4 juillet 2012, signature de la convention « Région Centre et Basse Normandie » qui permet l’ouverture d’un poste salarié pour l’utilisation. Où en est ce dossier ? Le recrutement a-t-il eu lieu ?


 
  • Réunion du 11 février 2011.


  • Réunion du 17 décembre 2011.

En dépit de toutes ces actions, le bilan est tout simplement catastrophique : il faut donc comprendre la mauvaise humeur des utilisateurs que l’on sollicite quand cela arrange et que l’on méprise le reste du temps.
Bientôt 2 ans d’attente, d’aucuns diront que cela fait plus longtemps, pas même un communiqué du Conseil d’administration de la SHP.
Aujourd’hui l’idée est lancée : faire scission, car c’est bien de cela qu’il s’agit, créer « l’association d’utilisateurs de chevaux percherons » complètement déconnectée de la SHP.
Cette idée me trotte dans la tête depuis fort longtemps – elle avait d’ailleurs été évoquée dès le 14 janvier 2011. Cependant j’aimerais comprendre quels sont les griefs retenus contre les utilisateurs pour qu’on ne les accueille point au sein de la SHP.
Si cette nouvelle structure venait à exister, il faut bien avoir à l’esprit que l’achat de percherons se fera différemment et les titres remportés par les percherons de cette association ne pourraient pas servir de publicité à la SHP.
Les utilisateurs, lors de la seconde réunion en février 2011, avaient demandé à une personne de les représenter, personne qui a été cooptée au Conseil d’administration de la SHP. Qu’en est-il de cette représentation ? Où est la communication ?
J’ai retrouvé par hasard sur Internet le compte rendu « Parcours conseil » de la journée du 17. J’aurais préféré que la SHP le diffuse, mais voici quelques commentaires :
         Concernant l’atelier 3, je pense que l’objectif de 800 adhérents en 2016 est très mal engagé.
         Pour l’atelier 3 bis : je lis « étape 2 conseil d’administration : une organisation plus représentative dans les 2 ans, intégrant valorisateurs et utilisateurs ».  Parfois on croit rêver !
         Pour l’atelier 4 et 4 bis qui portait sur les JEM, les récentes informations portent à croire que les objectifs sont à cent lieues de la réalité.


  • Réunion du 17 décembre 2011.

  • Guy Fourmont pendant les travaux de la réunion du 17 décembre 2011.

En conclusion, il est urgent que la SHP communique et se positionne clairement. Au delà d’un délai « raisonnable », une « association d’utilisateurs de chevaux percherons » a toute sa place, peut rassembler et fédérer les utilisateurs et meneurs autour de projets concrets dans un esprit collaboratif et convivial."




39 commentaires:

Anonyme a dit…

!Jean Léon bonjour

Ci cela ne faisait que 2 ans que l'on attend!!

Il faut savoir que dans certains departements tels que l'Orne il est très souvent dit qu'il n'y a pas "d'atteleurs".

Il est vrai que nous sommes des petits jeunes aussi bien dans l'elevage que dans l'utilisations!!! Début de la "Ferme de Montaumer" 1994, Sans compter la relève dans la famille William qui lui est instructeur d'attelage affilié F.F.E toujours dans l'Orne.

C'est d'ailleurs la raison pour laquelle en 2012? je n'ai pas repris d'adhesionS ni à la S.H.P ni à notre syndicat d'élévage.

L'attelage a toujours été le parent pauvre du Percherons, on verra en 2013 si cela change!!!

Amicalement

JO Lebègue La Ferme de Montaumer

Anonyme a dit…

Bonjour à tous je voudrais apporter quelques commentaires en tant que vice président du syndicat ornais.
Il est vrais que l'intégration des utilisateurs n'est pas des plus facile,j'en ai eu l'expérience au concours nationnal ou je suis resté à l'extérieur avec mon attelage à quatre mais peu importe, j'y étais, nous devons progresser et faire comprendre que nous ne sommes pas la pour perturber.
Il est regrétable de ne pas adhérer au syndicat lors de notre enquête menée dans l'orne nous avons recencés 15 utilisateurs passionnés et 14 éleveurs utilisateurs et nous sommes passé de 40 adhérents à 95 adhérents en 2012.
L'ouverture existe à nous de la développer de proposer des actions, des démonstrations, nous finirons par atteindre nos objectifs et faire comprendre aux éleveurs que nous sommes la continuité de leur travail.
La division n'est pas profitable à la race percheronne.
Amités
Claude Adenis

Christophe Bordez a dit…

Brièvement
Enfin, je me sens un peu moins seul...
- Il ne s'est rien passé depuis des décennies à la SHPF.
- Les percherons ne sont globalement pas utilisés, mais élevés et stockés (en attendant l’échafaud pour certains)
- Des utilisateurs isolés, passionnés et désabusés par l'immobilisme et l'opacité percheronne.
Résultat : éloignement du petit monde percheron et utilisation dans son coin.

Si une association d'utilisateur venait à se créer il FAUT ABSOLUMENT QU'ELLE SOIT INDÉPENDANTE DE LA SHPF.
Laissons les pages d'histoire (sans les déchirer!) à la SHPF et commençons un nouveau livre sur l'utilisation.
Pour ma part j'ai commencé avec une autre assoc trait...
Percheronnement
Christophe

Simonetta a dit…

Scusate se scrivo in Italiano ma spero che qualcuno potrà capire lo stesso. Secondo me è un errore fare un'altra associazione solo per utilizzatori,dovrebbe proprio essere la SHPF ad occuparsi di questo e se non in grado DEVE delegare qualcuno a farlo dando la possibilità di usare gli strumenti che la stessa SHPF ha già in mano.
Credo che se si trascura l'utilizazzione del cavallo Percheron, il destino di questa razza sia veramente in pericolo.
Simonetta

Simonetta a dit…

Désolée si je vous écris en italien, mais j’espère que vous pourrez comprendre.
Je pense que c’est une erreur de vouloir créer une association d’utilisateurs. Il faut que ce soit la SHPF qui le fasse. Et si la SHPF ne peut pas déléguer quelqu’un pour le faire, elle doit donner les outils qu’elle a déjà en main.
Je crois que si nous négligeons l’utilisation du cheval percheron, le sort de cette race est en réel danger.

ED a dit…

Bonjour,

A vous lire, je trouve regrettable cette tension « passionnelle » entre éleveurs et utilisateurs de chevaux percherons. Il est reconnu par tous (Inra, Institut de l’élevage…) qu’il y a une inadéquation forte entre l’offre (éleveurs) et la demande (utilisateurs). Les éleveurs proposent des chevaux qui ne sont pas valorisés derrières et sont donc difficilement vendables (prix tirés vers le bas !). Souvent âgés, ils n’ont pas toujours les compétences techniques pour le faire, ni le temps, etc. Parfois, cela ne les intéresse tout simplement pas. L’éleveur aime faire naître et reproduire par passion. Et c’est tout ! Valoriser est un autre domaine et valoriser à un coût !

Par ailleurs, les éleveurs ne sélectionnent pas forcément un modèle et des allures vers « un cheval utilitaire ». Ils sélectionnent un modèle de cheval qui leur correspond à eux et qu’ils veulent voir évoluer dans leur prairie. Alors oui du côté utilisation, parfois, on peut s’interroger sur l’avenir de ces chevaux élevés sans objectif de sélection vers l’utilisation ! Il n’y a qu’à se pencher sur le houleux sujet de l’introduction de sang diligencier pour résumer la situation dans la filière percheronne. Une étude du syndicat percheron de l’Orne est révélatrice : les éleveurs dénigrent majoritairement cette arrivée de sang à l’inverse des utilisateurs qui en reconnaissent le bien fondé. « L’élevage ne doit pas trop s’éloigner de la demande du marché », conclu le syndicat. Et voilà le cœur du problème !!

Plus vous scinderez éleveurs et utilisateurs, plus vous aurez de difficulté à faire correspondre l’offre à la demande et plus vous conforterez vos problématiques et vos rancœurs. Vous allez être de plus en plus confrontés au marché. C’est le cas de toutes les productions agricoles. Que vous le souhaitiez ou non, libéralisme économique ou pas… Les caisses sont vides, l’Etat, les Haras et la communauté européenne ne payeront plus, etc. Maintenant, il s’agit de faire rentrer de l’économique dans de la passion. Eleveurs et utilisateurs, vous êtes liés par un même produit. Imaginer un avenir commun et non pas divisé. Imaginer ensemble des passerelles entre vos univers car c’est ce qu’ils vous manquent pour faire vivre VOTRE percheron… sinon vous le coulerez ! Mais vous l'aurez coulé ensemble !!

Emilie Durand

JLD a dit…

L'analyse "économique" a toute sa valeur mais elle est déjà connue de tous.
D'une manière ironique, je dirais : le problème, ce sont les passerelles. QUI à l'heure actuelle est en mesure de les créer ?

Sylviane Letertre a dit…

Des utilisateurs de percherons, il y en a beaucoup, dans tous les secteurs. Des chevaux percherons utilisés, il y en a beaucoup, dans tous les secteurs.
Les utilisateurs mécontents sont ceux dont la SHPF ne veut pas entendre parler.
Pourquoi est-ce que la SHPF ne relance pas une VRAIE Commission utilsation ? Voilà la bonne question : Pourquoi ? Il y a sûrement une (mauvaise) raison. Laquelle ?

Bernadette et Franck Fouasnon a dit…

Nous sommes assez d'accord qu'un avenir brillant pour le percheron ne peut s'envisager en séparant les deux filières élevage et utilisation. En effet, elles sont complémentaires. Par ailleurs au regard de la conjoncture, il est évident que, nous les passionnés de notre percheron, éleveurs et utilisateurs, devront se serrer les coudes et faire preuve d’imagination pour trouver des sources de financement. Il ne faut plus compter sur je ne sais quelle prime.
Alors, il est évident que la clé serait les fameuses "passerelles". Lesquelles ? peut-être que l’une d’elles serait par exemple d’envisager l’association forte éleveurs/utilisateurs lors des concours de modèles en y intégrant des activités d'utilisations pour attirer le public. Certaines communes ont joué le jeu et soutenu les volontaires pour une promotion commune modèles et utilisation sur certains concours itinérants. D'ailleurs le public y a été présent. Mais ce n'était que le balbutiement. Mais pour cela il faut des volontaires, des petites mains, des organisateurs qui frappent aux bonnes portes. Il faut donc une union éleveurs/utilisateurs car l’union fait la force.

Alexis Hamon a dit…

Bonjour a tous,

je ne sais pas personnellement qu'est ce qu'est le mieux, séparation ou pas...

d'autre races ont fait la séparation est ce que c'est bien?, est ce que ça marche...?

Pour le percheron, il n'y a pas le choix, il faut que ça change, que ça bouge. Pour ça il y a deux solutions (1:avec la SHPF), (2:Sans la SHPF)

Solution 1:
Nous avons déjà essayé de faire avancer les chose avec la SHPF, le projet à été avorté...par conséquent si on veut avancer avec la SHPF, il faut trouver la cause de l'avortement, et réglé le problème. Se sera pas facile, surement extrêmement compliqué, mais pas impossible. ça prendra un temps fou, non pas pour trouver le soucis mais pour le corriger. Mais bien avant ça il faut d'abord contacter, motiver, rassembler les gens qui veulent que ça bouge pour ensuite les mettre en relation et créer en quelques sorte une équipe qui pourra par la suite faire basculer un à un les leviers bloquants. Se rassemblement est un travail long et difficile parce que aujourd'hui la motivation des gens n'y ai plus, il faut redonner au gens l'envie d'être écouté. C'est un travail à temps plein qui sera la base de toute la suite. Ce travail là doit être engagé par la SHPF, par une ou des personnes qui ont l'envie d'une évolution mais il faut que ces personnes puissent le faire en toute liberté.

Solution 2:
La séparation, ça parait simple a dire et a écrire, mais il y a un travail énorme, un boulot monstre en terme de temps, pour écouter, comprendre, convaincre et rassembler. Pour ensuite pouvoir commencer la création d'une structure, qui là encore représentera un boulot monstre en terme de compétences notamment organisationnelles et de management, sans parler de tout ce qui est de la gestion économique. Du travail a temps plein pour une à plusieurs personnes.
Qui peut aujourd'hui lancer et manager un tel projet bénévolement? (oui parce que même si au bout de quelques temps ça peut amener à des espérance de gains d'argent...je ne suis pas bien sur qu'au départ se soit le cas...)

Personnellement je pense que la solution 1 est plus facile a mettre en oeuvre, pas forcément la plus rapide, mais sans doute la plus efficace dans le temps et pour l'avenir de la race percheronne...

A bientôt
Alexis Hamon

Christophe Bordez a dit…

Que de blabla….C’est toujours la même rengaine, lisez mes vieux commentaires d’il y a 1 an...
Il faut passer à l’acte et arrêter de faire de la littérature…
Emilie, il n’y a pas de tension entre éleveurs et utilisateurs, mais de l’INCOMPREHENSION (voir le tumulte causé par le « léger » allègement de la race avec la venue de Cruiser il y a qq années). Le problème est culturel, la SHPF à une vocation, un savoir-faire tourné vers l’élevage, elle est à des années lumière de l’utilisation actuelle et future des chevaux. Cette structure est FIGEE depuis des décennies, on n’y peut rien c’est CULTUREL. Un gros baratin nous a été servi en prévision du Mondial, avec tout le « patacaisse » de réunions et autres consultants qui n’a débouché sur rien.
A savoir : la première race en effectif est le comtois, cette race a une association spécifique pour les utilisateurs (l’APTC). Cette stratégie semble plutôt gagnante pour cette race.
En parlant d’économie, est-ce que sur un marché les offreurs et les demandeurs font partie d’une même structure, évidemment non. En revanche les offreurs organisent une veille du marché, pour produire ce qui est demandé. Il y aurait bien trop de risques de conflits d’intérêt, de juge et partie etc à mettre tout le monde dans le même panier.

Il faudrait faire une enquête auprès des éleveurs, pour qualifier l’audience du blog de Jean léo. Ce blog qui montre des clichés d’utilisation actuelle et donne des informations sur l’utilisation de chevaux de trait. Je suis a peu près certains qu’il n’y a qu’une minorité d’éleveurs qui consultent ce blog. Les éleveurs font naître parce que c’est comme ça et voilà.
Ce qui se passe c’est que les utilisateurs deviennent éleveurs quand ils le peuvent. Dans les années à venir ceux qui survivront seront naisseur, éleveur, « déboureur », et utilisateur de chevaux qui seront à adapter à l’usage que l’acheteur voudra en faire (= cheval clé en main).
En compétition FFE jamais je ne vois de percherons, le cob, le breton, boulonnais ont pris le marché. Je suis allé à Saint Christophe le Jajolet pensant voir un peu plus de chevaux de notre race, déception à part ceux de Céline et ce fut tout. Le percheron est en déficit d’utilisation par rapport à d’autres races et si rien n’est fait il va s’éteindre à petit feu….Alors passons à l’acte, les utilisateurs, pour promouvoir et utiliser ce superbe cheval.
Percheronnement
Christophe

Brigitte Guillaume a dit…

Le blabla, c'est ce que j'écris le dimanche en commentant la pensée dominicale...
Mais là, en l'occurrence, il s'agit de personnes qui s'expriment et c'est important, pour les nouveaux venus (comme moi), de pouvoir découvrir toutes les facettes du monde percheron. Ceci dit, je comprends votre impatience mais...

Christophe B a dit…

Bonjour Mme Guillaume
Ce sont vos mots dominicaux qui m'attirent plus qu'autres chose.Nouvelle arrivante et utilisatrice de chevaux percherons peut être, sachez que cela fait des années que les mêmes choses sont dites et redites et reredites... Allez voir les vieux commentaires de 2010. Maintenant il faut passer à l'action
RIEN NE SE PASSE DANS SE MONDE PERCHERON.
Un électrochoc culturel et générationnel doit se faire dans cette nébuleuse.
Avec tous mes respects, bien à vous
Christophe

JLD a dit…

Un commentaire vient d'arriver sur ce blog.
Une phrase seulement. Mais une phrase importante.
Malheureusement, ce commentaire n'est pas signé. Et fidèles à notre décision de ne publier que les commentaires signés, nous avons l'immense regret de ne pas afficher ce commentaire.
Mais il n'est pas trop tard, "Anonyme" ! Il faut signer de son nom à la fin du commentaire.

Valérie Sallé a dit…

Petite question : Emilie Durand ne serait-elle pas la chargée de mission nouvellement embauchée à la SHP ? Comme le dit Jean-Léo, l'analyse est bonne mais connue de tous. La question n'est plus pourquoi mais comment, comment fait-on pour avancer ensemble éleveurs ET utilisateurs...Peut-être qu' Emilie peut nous éclairer sur la position de la SHP face à cette "crise"
Christophe, si ta vision globale est surement réaliste, j'avoue qu'à te lire j'ai parfois les crins qui se hérissent ! Moi je, moi je, moi je, mes commentaires d'il y a 1 an, ma jument qui tire 1 tonne, la présidente qui n'est pas venue me chercher ...tu gagnerais à faire preuve d'un peu plus de modestie...Le monde percheron foisonne de gens formidables, passionnés et investis. Je connais même dans la Sarthe des éleveurs qui consultent chaque jour le blog de Jean-Léo...Incroyable non ?
Valérie Sallé

Gerard BEAUTE a dit…

Créer une association d'utilisateurs ne fera qu’élargir le fossé existant entre les éleveurs et les utilisateurs au sein de la SHPF.
Les éleveurs et les utilisateurs doivent travailler ensemble pour produire le percheron d'aujourd'hui et de demain
Je suggère, pour la prochaine élection de président à la SHPF , que les candidats remplissent la condition d’être éleveur et utilisateur .
Cela pourrait faire peut-être changer le RIEN en UN PEU
Gérard BEAUTE. Utilisateur https://sites.google.com/site/percheronsbellemois

JLD a dit…

"Anonyme" est devenu "Comité de soutien du cheval percheron".
Mais... ça ne suffit pas ! Qui fait partie de ce Comité de soutien ?
Encore un p'tit effort !

Bernard Choplain a dit…

Bonjour
Il y a de nombreuse façons d'utiliser les chevaux percherons, professionnellement ou en loisirs:chevaux de sport, de concours d'attelage, de transports utilitaires de toutes sortes,de travail de la terre, de débardage, etc...
Comment fédérer tout ce petit monde en une seule association dans ces différents objectifs d'attelages?
Il y a des utilisateurs de percherons dans pratiquement toute la France et il est très difficile de créer et de diriger une association sur un si vaste territoire.C'est énormément de temps passé pour les bénévoles qui veulent bien s'en occuper.
Rien que d'avoir des adhérents sur tout un département n'est pas si simple!
On ne peut pas toujours TOUT demander aux dirigeants de la SHP, mais je pense que l'utilisation doit s'appuyer sur la SHP, structure bien en place au niveau national, en ayant un relais avec les syndicats départementaux ou régionaux percherons.
Amicalement.
Bernard Choplain.

duriez Patrick a dit…

Bonjour,
Il existe une Association Percheronne d'Attelage "APA",qui est en sommeil la solution n'est elle pas de la réactiver (il y a des status, comptes en banque e.t.c.)ce qui peu aider pour la mise en route. !Fédérés! nous pourrons rencontrer nos "dirigeants" de la SHPF.En parlant d'une seule voix!
D'ouvrir cette association à tous utilisateurs de tous poils et crins, même si c'est vrai que de regrouper des gens de toutes régions n'est pas chose facile.
Il faut s'ouvrir prouver nos compétences, montrer nos chevaux
Le but: organiser des journées randonnées,techniques,fenaison.t.c... Tout est possible mais rencontrons nous et organisons nous!!
J'attends que des volontaires se désignent!
Prenons notre destin en main!!
Percheronnement vôtre
Patrick Duriez

Pour info Mr Bordez les comtois n'ont pas participé à la route du poisson

Christophe B a dit…

Que d'animations tout à coup sur ce blog dés qu'on parle d'utilisation. Je pense que tous ces auteurs sont utilisateurs ou éleveurs/utilisateurs, il serait bon d'avoir un avis d'éleveur(S)...
Valérie, je ne souhaite pas me mettre en avant plus qu'un autre comme tu sembles l'avoir compris. La démonstration consistait à rendre compte de la fermeture et du cercle bien fermé des gens percheron "berceau". Je me suis fourvoyé sur l'ouverture. Admets qu'il serait plus facile de communiquer ensemble, de visu et par oral dans une association d'utilisateurs par exemple...

M. Duriez avez-vous posé la question à M. Cannelle (un vrai leader avec un cap) sur la raison pour laquelle les comtois ne sont pas venus à la route du poisson? Renseignez-vous. On peut parler de vraies valeurs dans ces cas là (un peu trop peut-être). Renseignez-vous également sur l'utilisation comtoise, il y a un véritable foyer d'utilisation dans leur région. Avantage pour eux : ils sont peut-être moins disséminés.

Pour ma part, voilà 2 ans que j'ai découvert et consulte ce blog qui m'a enthousiasmé et fait communiquer avec d'autres passionnés.Peut-être me suis-je mal fais comprendre. Aucune rancœur mais des déceptions ont jalonné ce cheminement (était-ce le but recherché par ceux que j'ai rencontré ?), je n'ai plus grand chose à dire (si ce n'est les mêmes qui se répètent...). Du plaisirs et des souvenirs avec mes juments au mondial et ailleurs. Devant le danger d'une communication uniquement écrite je cesse mes commentaires (comme je l'avais fais avant que JLD me demande des photo du Championnat de France) qui peuvent-être mal interprétés et me suis engagé ailleurs devant ce bloc percheron fermé et immobile.
Amitiés
Christophe

Alexis Hamon a dit…

Bonjour a tous,

En effet il y a de l'animation, mais justement je ne pense pas que se soit bon ....> autant d'animation.

C'est toujours le même soucis, a chaque fois qu'il y a un sujet sur l'utilisation, il faut que ça parte en bagarre, ce qui du coup n'aboutie sur rien du tout.

Je pense qu'il faut arrêter les propos cinglant qui sont inutiles (du style : il ne se passe rien, c'est figée, bloc percheron fermé et immobile...)

J'imagine bien (du moins je pense) que c'est surement pour faire bouger les gens, pour que ça avance. Mais ça fait tout l'inverse, ça divise et ça met de la tension. Du coup pour finir tout le monde se sent agressé et arrête d'écrire...

De plus les messages de se genre masque les autres dans lesquelles il y a de vraie idée sur les quelles il peut y avoir un développement.

Personnellement je pense que quand on dit qu'il ne se passe rien, c'est faux, il y a des tas de chose d'organisé partout:

- Dans de plus en plus de concours d'élevage il y a de l'utilisation de présenté, et en règle générale les éleveurs en sont ravi.
- la SHPF organise elle même des choses pour l'utilisation (course du haras du pin, concours de maniabilité rurale et de traction...), il n'y a d’ailleurs pas énormément de monde qui y participe, ça n'aide pas à montrer que les utilisateurs sont motivés.
- Les syndicat départementaux et régionaux organises énormément d’évènements qui très souvent sont ouvert aux utilisateurs d'autres régions et la plupart du temps des appels à la participation sont fait directement sur le site de SHPF.

Avant de dire qu'il ne se passe rien, il faut d'abord participé à ce qui existe et pourquoi pas organisé a son tour des évènements.
Et il faut arrêter de dire que les éleveurs sont contre l'utilisation, c'est pas la réalité ou en tout cas pas une généralité.
Il faut aussi arrêter de lier le diligencier (ET sang américains) à l'utilisateur et le trait (ET sang français) à l'éleveur, je ne pense pas que se soit le type du cheval qui fasse sa capacité à être utilisé mais son caractère et sa motivation. (Mon cheval le plus motivé et le plus sanguin est 100% français , il est plus nerveux que 95% des franco-américains.)

Je pense que la première chose a faire, au lieu de déclarer une guerre, c'est d'améliorer la communication entre les organisateurs d'évènement et les gens qui veulent y participé. Quand se système sera fonctionnel les taches et difficultés de chacun seront considérablement améliorés. Et ensuite on verra pour le reste.

Après je suis peut être complètement à coté de la plaque.

A bientôt
Alexis Hamon.










Anonyme a dit…

Bonjour à tous,
Merci pour vos commentaires concernant cette « histoire de rien ».
Je suis surpris par la caricature des éleveurs. Tous ne sont pas vieux et bornés.
J’ai, pour ma part, beaucoup de respect pour eux : ce sont eux qui détiennent ce patrimoine et toute la connaissance. C’est un trésor inestimable.
Certains commentaires posent très justement le dilemme : « la valorisation et l’utilisation sont le prolongement de l’élevage », il serait donc naturel qu’une structure soit mise en place au sein de la SHP.
Lors de la réunion du 14 janvier 2011, 10 personnes se sont portées volontaires pour construire la structure de cette commission et tous avaient à l’esprit l’entraide avec les éleveurs.
A plusieurs reprises, j’ai proposé mon aide à la SHP : j’attends encore la réponse.
Certains me parle économie et subventions ; dans le dernier rapport de « Parcours conseil » je vous parle de bénévolat.
Enfin un mot magique est prononcé « établir des passerelles », mais n’oublions pas que pour établir ces passerelles il faut une volonté commune. Est-ce le cas ?
J’apprécie la réaction de Simonetta : à l’étranger on nous observe, on réagit !

J’ai été convaincu qu’une association indépendante était l’ultime recours en me remémorant la réponse qui m’a été faite, lors de l’assemblée générale, suite à ma question sur la commission utilisation : je cite « c’est une décision démocratique du conseil d’administration », ce que j’interprète par « on ferra si on veut ».
Cet argument est imparable, les moyens de communication aussi.
Je ne souhaite le départ de personne, ne convoite ni pouvoir ni économie.
Je souhaite simplement que la SHP nous accueille au sein d’une commission utilisation afin que l’on travaille ensemble autour du Percheron.
Si cela n’est pas possible, des solutions alternatives existent, se précisent de jours en jours, ce sera avant tout une aventure humaine.

A bientôt
Guy FOURMONT

Valérie Bouteloup a dit…

A tous les passionnés
De notre percheron bien-aimé
Sourier :-)
Positiver...................
Chevaucher
Atteler
Communiquer
Dans la Gaïté
Amitiés

Anonyme a dit…

bonjour à tous
jean léo tu m'as dit samedi qu'il allait y avoir de la tempête sur le blog, ce n'est pas de la tempête c'est un ouragan, c'est comme les impôts et Noël cela revient tous les ans.
je pense que si les gens étaient éleveurs, naisseurs, débourreurs et utilisateurs il y aurait moins de polémiques car tout le monde serait dans le même sac.
Quant à Valérie qui vient mettre son grain de sel (jeu de mots)je lui conseille de consulter un dermatologue car ce n'est pas normal qu'elle aie des crins
Amitiés
Marcel Binet

Anonyme a dit…

A lire tous les commentaires (un record je pense), certains me plaisent d'autres moins, mais je suis
juste éleveur et pourtant j'aime l'utilisation en général, particulièrement les travaux de force
comme le débardage, le labour ou la traction, bref toutes les utilisations mettant en valeur la puissance du cheval de trait. Je pense qu’aujourd’hui la production a bien évolué avec de meilleurs
aplombs et allures. Une bonne partie des chevaux produits sont utilisables dans toutes les
disciplines, mais vu la conjoncture actuelle certains utilisateurs en profitent pour tirer les prix
vers le bas, alors que faire naître un poulain coûte de l'argent. En ce qui concerne la SHPF, dont je fais parti, elle est fortement critiquée par certains, malgré le travail remarquable des bénévoles et de ses salariés. Une commission d'utilisation existe déjà depuis deux ans, elle ne demande qu'à évoluer avec tous (utilisateurs et éleveurs), mais il y aura toujours des mécontents, le monde est ainsi fait. Pour ma part, depuis que je fais naître des poulains, j'ai utilisé des étalons traits comme diligenciers tout en gardant la spécificité du cheval de trait, sans tomber dans l'allègement excessif. Les chevaux de trait ne sont pas des chevaux de sang. Je partage d'ailleurs les propos d'Alexis Hamon.

Laurent MASSON

Anonyme a dit…

Bonjour à tous,
Je suis surpris par le commentaire de Laurent MASSON administrateur à la SHP. Je n’ai jamais mis en cause vos choix d’élevage. Ce que l’ensemble des éleveurs fait à travers la sélection n’est pas évident d’autant qu’à un moment il faut s’en remettre à la nature.
Concernant la commission utilisation, je ne vous connaissais pas, je penserais que vos propos que vos propos sont intellectuellement malhonnête :
Lors de l’assemblée générale de 2010 en février 2011, on nous a expliqué qu’il fallait changer les statuts.
Lors de l’assemblée générale de 2011 en février 2012, suite à ma question écrite, le président a répondu que « cela se ferait mais que c’était une décision du conseil d’administration ». Qui croire ?
Voilà pourquoi dans mon billet, en conclusion, je demandais une position claire de la SHP.
Alexis, je comprends que tu essaies de calmer le jeu, je l’ai fait un certain temps pour protéger les personnes qui s’engageaient, mais au fond tu connais parfaitement la situation, du reste le travail réalisé dans l’utilisation de « loisir » (course montée et attelage) va dans le bon sens, mais il y a un vide coté utilisation « utilitaire » .
Je ne demande pas grand-chose : que cette commission existe, se structure pour que toute les facettes de l’utilisation soient représentées et rayonnent.
Si cela n’est pas possible ……

A bientôt
Guy FOURMONT

duriez Patrick a dit…

Bonjour,Laurent tu nous dis que la commission utilisation existe sur le papier,cela nous en étions presque convaincus mais qu'à telle fait depuis ces deux ans?Lorsque tu vois le mécontentement de tous ces utilisateurs, il y a de quoi se poser des questions?
Tu es le seul du bureau de la SHP a répondre,pourtant les autres membres consultent ce BLOG,"résultat aucun commentaire sur le site de la SHP" la politique de l'autruche n'est pas en ce moment la meilleure façon de donner des réponses.
A voir à la vitesse ou les communes et C.D.C. nous prennent la main il ne restera bientôt plus rien, et là les éleveurs seront aussi floués que les utilisateurs car les ventes de chevaux s'en trouveront impactées.Terminé le rêve de "certain" des ventes de chevaux à 10000 Euros.
Pour apporter de l'eau à ton moulin,c'est vrai que produire le cheval idéal à chaque utilisation est utopique.Cela prend en moyenne trois ans et coute de l'argent.
Que les acheteurs discutent les prix est normal car aucun code de déontologie n'existe entre éleveurs pour fixer un prix de base.
Le dialogue s'est d'ailleurs engagé avec les éleveurs lors des réunions précitées (2011-2012),du type de chevaux désirés par chacun.
Mais ceci reste lettre morte, car notre société n'arrive pas,à faire cette passerelle sans laquelle rien n'est possible.
Il est souvent oublié que nous avons besoin les uns des autres!
Cordialement
Duriez Patrick

Gerard BEAUTE a dit…

Après le passage d’un ouragan, on reconstruit.
Je propose que toutes les personnes qui se sont exprimées sur ce sujet, sur le site de Jean Leo, se portent "VOLONTAIRE" pour travailler dans la Commission Utilisation au sein de la SHPF.
Cette commission doit être composée d’éleveurs et d’utilisateurs
Les demandes des utilisateurs sont très différentes, on ne fera pas un cheval universel.
Pour mémoire récapitulatif des utilisations :
Travail dans la nature :
Vigne, débardage, culture bio, entretien des rivières et des zones humides…
Travail dans les villes :
Bus scolaire, navette entre 2 lieux, entretien des fleurs, ramassage des cartons, des bouteilles, publicité….
Tourisme :
Découverte en attelage d’une ville, randonnée, roulotte, balade montée….
Sportifs :
Équitation, attelage, tradition, courses…
Spectacle :
Dressage, carrousel, reconstitution, films, manifestation, concours, théâtre équin….
Plaisir et loisir du particulier :
Équitation, attelage, randonnée
Traitement Médecine :
Contact avec autiste, handicapé moteur…

J’en oublie, à vous de compléter la liste….
Amicalement.Gérard BEAUTE

JLD a dit…

Merci à tous ceux qui s'expriment sur ce blog. Ils prouvent que les bonnes volontés sont là, à la porte.
Alors... que la porte s'ouvre, en grand !

Anonyme a dit…

Par respect de vos adhérents, Monsieur Le Président de la SHPF serait-il possible de connaître votre position face à ses différents commentaires ?
A. COLLET

Anonyme a dit…

Bonjour,

effectivement que de commentaires. Comme le dit Laurent il y en a qui plaise et d'autres moins. La commission d'utilisation au sein du CA de la SHP existe avec quelques personnes. Je pense qu'elle ne demande qu'à vivre, avec l'aide de plusieurs utilisateurs et des éleveurs. Ceci va de paire.
Comme le dit Alexis Hamon, il faudrait commencer par participer aux choses qui existent: je pense au national Percheorn où un concours d'utilisation avait lieu avec que peu de chevaux engagés: nous avions d'ailleurs une pouliche de notre région Poitou-Charentes, loin du haras du Pin qui y participait. La SHP (dont je fais parti également)est souvent critiquée mais pourtant des personnes y travaillent assidument.Désormais, il est nécessaire de faire vivre cette commission utilisation effectivement peut-être en se réunissant ensemble autour d'une table.
Amicalement
Laurence GUILLOT

Christophe Bordez a dit…

Hello

Be careful !

1 - Des gens s'expriment sur ce sujet MAIS sont parties prenantes, attention à ne pas se laisser "endormir" par une "langue de bois" (ou plutôt mots de bois !).
2 - Ne pas confondre utilisateurs et adhérents SHPF. La participation aux manifestations SHPF n'est-elle ouverte qu'aux seuls adhérents, ce qui expliquerait la faible participation aux réunions d'élevage orchestrées par la SHPF ? Bon nombre d'utilisateurs ne sont pas adhérents pour des raisons diverses. Personnellement adhérents pendant plusieurs années j'ai cessé car peu d'intêrets, adhérents l'année dernière par obligation pour participer au Mondial.
3 - Pourquoi le staff de la SHP ne s'exprime pas, alors qu'il consulte ce blog (en espion !)? A t-il peur de perdre la maîtrise, la main mise ?...
4 - Si commission utilisation il y a ou association, elle doit avoir de réels pouvoirs, l'indépendance serait la plus adaptée, biensûr avec une corrélation naturelle.

Bon week end
Christophe

NB :
Alexis :
- tu admets qu'il faut faire bouger (c'est déjà ça), ce blog en est un bon moyen, voire le seul pour toucher et faire réagir, la preuve le nombre de consultations et de commentaires...
- Biensûr que le sang américain n'a pas l'exclusivité de l'allègement et de l'activité dans les allures.
- Je n'ai pas pu résister ,la passion peut-être...

Alexis Hamon a dit…

Bonjour Christophe,

Oui je dit bien qu'il faut faire bouger et que ça avance. Que l'utilisation soit plus connue et reconnue, et que l'utilisation devienne quelques chose d'important. Je l'ai toujours dit, et toujours pensé. je participe également à de nombreux évènement en fonction de mon temps et de mes chevaux avec toujours le même objectif de faire progresser l'utilisation du percheron au yeux de tous: (éleveurs, utilisateurs et surtout du grand public.)

Je suis pour l'évolution de cela, et j'ai d'ailleurs toujours participé aux réunions de la commission utilisation dans laquelle je faisait parti et pour laquelle je suis très motivé.

La seule chose que je veux dire c'est de faire attention à la méthode pour faire avancer. Si certains pense qu'il faut divisé pour mieux régner, c'est pas mon cas. Pour moi il faut rassembler et fédérer, pour relancer cette commission, pour que ça avance.
=> par contre si on ne rassemble et fédère pas, j'ai bien peur qu'il ne se passe rien.

A bientôt
Alexis Hamon

JLD a dit…

Alexis Hamon veut dire qu'il a participé aux différentes réunions préparatoires qui avaient pour objectif de structurer "l'utilisation". Alexis n'a jamais fait partie de la Commission Utilisation.
Une Commission Utilisation composée de Josiane Mulowsky (présidente), Brigitte Léon, Didier Lalonde, Alfred Clavel et Laurence Guillot existe bien sur le papier, seulement sur le papier, et cela depuis une réunion du Conseil d'Administration de mai ou juin 2012. Le compte-rendu en date du 15 juin 2012 fait état de la naissance de cette Commission. Ce document est toujours resté condidentiel, comme tous les compte-rendus du Conseil d'Administration (opacité oblige) et n'a jamais été publié sur le site de la SHPF.

Alexis Hamon a dit…

En effet Jean Léo, tu as raison.

Durant les réunions qui avait pour but de structurer l'utilisation, il me semble qu'on avait parlé de création de la "commission utilisation", j'en était resté la dessus, d'ou l'erreur.

C'est donc bien des réunions de structuration de l'utilisation dont je voulais parler.

A bientôt
Alexis

Alexis Hamon a dit…

Et c'est donc bien des réunions de structuration de l'utilisation que j'espère revoir apparaître.

Je pense que quand l'utilisation sera structurée, on aura déjà fait un pas très intéressant.

Bonne soirée
Alexis Hamon

JLD a dit…

Cher Alexis,
Félicitations pour ta 2nde place à Argentan !
En appelant de tes voeux des réunions de structuration de l'Utilisation, tu as 1000 fois raison, et tu mets le doigt sur LE point déterminant.
Alors que la grogne est bien audible, aussi bien chez des adhérents de la SHPF que chez des utilisateurs "extérieurs" qui aimeraient que les portes s'ouvrent, rien ne pourra se faire sans un rassemblement large de toutes les bonnes volontés. Il y a urgence.
Cela suppose une approche humaine de la situation. On ne fera pas avancer les choses avec quelques lignes sur un site Internet ou une liste de quelques noms sur un organigramme.
Il convient de tout mettre en oeuvre pour rassembler toutes les personnes de bonne volonté. La tâche sera difficile. Il y a beaucoup de méfiance envers tout ce qui vient de la SHPF. La perception assez répandue est que les instances décisionnaires de la SHPF ne sont en fait que du ressort d'un nombre très très limité de personnes peu ou même pas du tout intéressées par l'ouverture et l'élargissement.
Dans un monde du cheval de trait en pleine mutation (émergence des nouvelles utilisations, retrait des Haras, difficultés économiques...), il faudrait faire preuve d'insconscience pour croire que la solution est de s'arc-bouter contre vents et marées, de chercher avant tout à garder ses prérogatives, et de continuer à travailler selon un schéma dépassé et obsolète.
Les utilisateurs sont partout, nombreux, souvent débordants d'énergie. Comme le rappelait Gérard Beauté récemment, l'utilisation c'est bien autre chose que le cheval de trait monté et attelé. Ne sommes-nous pas en train de gaspiller toutes ces énergies en leur refusant ce qui est capital, à savoir reconnaissance et considération ?
Une fois encore, rien ne pourra se faire sans une approche humaine de la situation.
QUI est en mesure actuellement de mettre en oeuvre et de mener à bien ce changement de cap ?
C'est bien évidemment là le noeud du problème.

Anonyme a dit…

Des semailles d’espoir

Bonjour à toutes et à tous,

Cette semaine, le conseil d’administration de la SHP va se réunir. Nul doute que cette « histoire de rien » va être évoquée, discutée.
Beaucoup de personne viennent d’apprendre l’existence d’une commission utilisation au sein du CA et s’interroge sur sa composition.
Le travail de cette commission est énorme mais pas insurmontable et c’est en accueillant nombre de volontaires et bénévoles que cette charge peut être absorbée. Je pense qu’il faudrait une vingtaine de personnes qui œuvreront dans les différentes « activités » et seront relais.
Alors espérons qu’une brise de sagesse soufflera sur ce CA, que des décisions seront prises dans la transparence, non partisanes, dans un véritable esprit d’ouverture.
Rien ne serait plus décevant que de ne pas avoir de réponse, ou d’avoir une réponse non conforme à une certaine morale !
Bonnes délibérations aux membres de ce CA, quant à nous utilisateurs soyons prêts à œuvrer pour notre percheron.

A bientôt
Guy FOURMONT

Alexis Hamon a dit…

Bonjour à tous,

Merci Jean Léo.

En effet la question "Qui peut le faire?" se pose, et reste le problème.

Comme je le disais plus tôt, le rassemblement est un travail à plein temps pour au moins une personne.

Il est donc impossible pour n'importe qui de s’investir seul dans un tel projet. (enfin je pense)

J'avoue que les "règles, les lois et autres..." concernant les conseils d’administrations et les organisation du même ordre que la SHPF, me dépasse. Mais le CA pourrait peut être demander à la commission d'utilisation qui à été créer dernièrement de relancer, organiser et piloter les réunions de structuration avec les utilisateurs connues de la SHPF et qui veulent y participer, dans le but de structurer la filière utilisation.

Dans un second temps si les améliorations se font et se sentes, j'imagine que certains utilisateurs connus mais qui ne voulait pas y participer auront désormais envie d'y participer et seront greffer dans cette structuration.

et dans un troisième temps, les utilisateurs non connues de la SHPF, etc,etc,etc.. pour avoir une structure la plus large et la plus hétérogène possible, dans le but de pouvoir travailler sur chaque type d'utilisation avec des spécialistes dans chaque domaine..

C'est une idée, c'est surement pas la seule, et d'ailleurs je ne sais pas si elle est réalisable au niveau du CA et au niveau du programme que possède la commission utilisation... à voir,

A bientôt
Alexis Hamon