mercredi 31 décembre 2014

Les Sourires 2014 > 5ème

Désolé, Isabelle, mais on ne comprend toujours pas ce que tu veux dire...

Non Maxime, il est formellement interdit de faire apprendre à son cheval le parcours du test de caractérisation avant l'épreuve. Sandra, ça ne la fait pas sourire...

"J'vous les coupe comment ?".


À trop tirer sur la corde, Jean-Baptiste, ça devait arriver !

Les nouvelles technologies, ça l'électrise, Virginia !

Pour Jean-Baptiste, tout va bien. Mais son poulain a l'air franchement un peu secoué.

Autrefois, les vrais paysans ne s'arrêtaient pas au milieu du rang pour boire un coup.
Mais comment se fait-il que Vincent ne soit pas là ? Il est toujours dans les bons coups.

Ah ! Nous voilà rassurés...

Amandine se lance dans le dressage. Le 1er spectacle ? Pas avant 2016 ou 2017.

mardi 30 décembre 2014

Les Sourires 2014 > 4ème


Bernard et Christine, vous ne surestimeriez pas un peu les capacités intellectuelles de vos chevaux ? Certes, ce sont des percherons, mais quand même...

Très sollicitée sur les concours pour tresser les percherons des uns et des autres, Adelaïde a trouvé la solution : elle ne se déplace plus sans son banc.

Sylvain l'affirme : le débardage, c'est une question d'équilibre. Christine n'a pas l'air totalement convaincue.

Au Salon du SIVAL, Jacques a présenté le nouveau collier de la Sellerie percheronne. Mais, pour les réglages, ça ne serait pas plus facile autour du cou d'un cheval ?

Un Salon, c'est aussi un moment de convivialité. Alors pour Bernard, Jacques et Jean-Marie, l'heure du thé, c'est sacré. AinSIVALavie !

Ah les filles.... Mais oui Sophie, ça te va très bien au teint.


Voilà ce que c'est que de donner à boire aux uns et pas aux autres. Ça fait des jaloux !

lundi 29 décembre 2014

Les Sourires 2014 > 3ème

On ne voit pas très bien ce qu'Isabelle veut dire. La prochaine fois que vous la rencontrez, demandez-lui des explications.




Quand il monte à la capitale, Jean-Jacques tient à immortaliser ce grand moment. Il n'hésite pas, pour cela, à faire appel aux plus grands professionnels de la photographie équipés des appareils les plus modernes.

Le nez qui coule, les yeux qui pleurent. Et la journée ne fait que commencer...


Peu impressionné par les Belgians américains, Francis est allé voir un paysan amish pour discuter de ça et de plein d'autres choses.

Dans le milieu percheron, on ne murmure pas qu'à l'oreille des chevaux.

Sans doute inspiré par un autre photographe, Arnaud a décidé de photographier couché. Couché sur le ventre, Arnaud, pas sur le dos !

dimanche 28 décembre 2014

On A Reçu

Simonetta.



Océane, Michèle, Jean-Marie Rousset.



Trait pour Trait.



FECTU.



PferdeStark.


samedi 27 décembre 2014

Les Sourires 2014 > 2ème

Vincent, torse dénudé, ceint de son écharpe rose, quelle classe !

Mais vu de dos, c'est un autre tableau. Son prestige en prend un sacré coup.

Le palonnier simple, Guy maîtrise parfaitement. Mais le double, alors là, ça le dépasse complètement.

Valérie et Christine auraient pu se faire photographier devant un impressionnant percheron américain. Au lieu de cela, elles ont choisi un vieux tracteur rouillé. Allez y comprendre quelque chose...

Faut pas pleurer, Maxime, tu seras mieux classé l'année prochaine.

Il arrive que les paroles dépassent la pensée, n'est-ce pas Jérôme ?

Et après, on regrette.

C'est une tradition. Sur le chemin qui mène au terrain du bris des lances, les lanciers de Champagné se voient offrir des œufs durs par la population. Un œuf, ça va ; deux, ça passe ; mais au troisième, Alexis frise l'indigestion.

Se faire photographier au milieu des pommiers en fleur, c'est bien, Marine. Mais attention aux basses branches, même chargées de fleurs. La prochaine fois, avec un poney ça passerait mieux.

À la journée traction animale de Sciez en Haute-Savoie, le message était clair : Au travail, les chevaux ! Sinon, voilà ce qui vous attend.

vendredi 26 décembre 2014

Les Sourires 2014 > 1ère



Quand ça veut pas, ça veut pas. N'est-ce pas, Alexis ?

Décidément Évelyne, quand ça veut pas !


Une fois encore, le vieil adage "Tel père, tel fils" se révèle être exact. Dans le rôle du père, Alain et dans celui du fils, Maxime.

Revue de détail approfondie par Bernard et Jean-Baptiste pour cette mini faucheuse produite aux États-Unis. Fortiches, les Américains.


Le coup de boule revenu dans l'actualité par le fait d'un certain Zidane n'est pas l'apanage des footballeurs. Alexandre-le-vigneron apprend à ses dépens que le percheron peut avoir le coup de boule facile.

Mécontent des résultats obtenus par l'un de ses étalons, Romain a choisi la castration immédiate.