"Regarder, regarder encore, regarder toujours, c'est ainsi seulement qu'on arrive à voir."
Jean-Martin Charcot
dimanche 10 novembre 2013
Pensée Dominicale
1 commentaire:
Brigitte Guillaume
a dit…
A ce stade, j'aurais pu invoquer un arrêt de jeu, chercher l'exclusion, sortir mon joker ou tout simplement trouver un remplaçant (ça c'est un appel du pied...)mais comme tout amateur qui se respecte, je choisis d'aller droit au but, quitte à me prendre un crochet et à me ramasser une demi-volée, j'assume ! Ceci étant dit, maintenant je dois enfiler les crampons et arpenter le terrain en long en large et en travers. Le foot ! Ah ! Le foot ! Un sport où le ballon n'est pas toujours dirigeable, ni même les joueurs d'ailleurs mais un jeu qui a le mérite d'être collectif...alors respect ! Ne comptez donc pas sur moi pour émettre la moindre critique à son sujet. De toute façon, un sport où l'on peut monter les poules en se déplaçant d'une aile à l'autre, tout en effectuant des trouettes (petits ponts) et des marquages à la culotte, tout ça pour aller jusqu'aux tirs au but, doit inévitablement être pris au sérieux ! Un sport qui se joue, été comme hiver, en short, par souci d'économie et où l'on tire volontiers dans la barre transversale pour épargner le gardien de toute blessure, devient en tout état de cause un acte de bravoure-héroïque ! Un sport où le plus grand nombre est peu ou pas rémunéré et dont un tout petit nombre arrive à tirer son épingle du jeu avec des salaires astronomiques (rien à voir avec les jeux de grattage), tout ça pour reproduire à l'identique le schéma de notre société, pour ne pas déroger à la règle...cela doit être salué par une ola et sans faire de vague en plus ! Quant à Diego Maradona, l'heureux inventeur de la pensée dominicale du jour, il évoluait pourtant haut la "main" sur tous les terrains du monde avant de shooter un peu trop fort et de casser son image de marque. Comme vous le voyez, la vie de footballeur n'est pas de tout repos, ni celle de leurs sœurs... Voilà, j'ai fait ce que j'ai pu et comme le dit si bien Franck Ribéry, l'un de nos meilleurs joueurs : "J'ai couru jusqu'à quand ce que je pouvais"... Je pourrais m'arrêter là, seulement je vais jouer les prolongations et poser une petite question aux journalistes qui lorsqu'ils nous parlent d'une surface quelconque, ne savent plus faire autrement que de nous la transcrire en nombre de "terrains de foot"...Sommes-nous aussi bêtes que ça pour ne plus savoir nous visualiser des mètres carrés !!!
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A ce stade, j'aurais pu invoquer un arrêt de jeu, chercher l'exclusion, sortir mon joker ou tout simplement trouver un remplaçant (ça c'est un appel du pied...)mais comme tout amateur qui se respecte, je choisis d'aller droit au but, quitte à me prendre un crochet et à me ramasser une demi-volée, j'assume !
Ceci étant dit, maintenant je dois enfiler les crampons et arpenter le terrain en long en large et en travers.
Le foot !
Ah ! Le foot !
Un sport où le ballon n'est pas toujours dirigeable, ni même les joueurs d'ailleurs mais un jeu qui a le mérite d'être collectif...alors respect !
Ne comptez donc pas sur moi pour émettre la moindre critique à son sujet.
De toute façon, un sport où l'on peut monter les poules en se déplaçant d'une aile à l'autre, tout en effectuant des trouettes (petits ponts) et des marquages à la culotte, tout ça pour aller jusqu'aux tirs au but, doit inévitablement être pris au sérieux !
Un sport qui se joue, été comme hiver, en short, par souci d'économie et où l'on tire volontiers dans la barre transversale pour épargner le gardien de toute blessure, devient en tout état de cause un acte de bravoure-héroïque !
Un sport où le plus grand nombre est peu ou pas rémunéré et dont un tout petit nombre arrive à tirer son épingle du jeu avec des salaires astronomiques (rien à voir avec les jeux de grattage), tout ça pour reproduire à l'identique le schéma de notre société, pour ne pas déroger à la règle...cela doit être salué par une ola et sans faire de vague en plus !
Quant à Diego Maradona, l'heureux inventeur de la pensée dominicale du jour, il évoluait pourtant haut la "main" sur tous les terrains du monde avant de shooter un peu trop fort et de casser son image de marque.
Comme vous le voyez, la vie de footballeur n'est pas de tout repos, ni celle de leurs sœurs...
Voilà, j'ai fait ce que j'ai pu et comme le dit si bien Franck Ribéry, l'un de nos meilleurs joueurs : "J'ai couru jusqu'à quand ce que je pouvais"...
Je pourrais m'arrêter là, seulement je vais jouer les prolongations et poser une petite question aux journalistes qui lorsqu'ils nous parlent d'une surface quelconque, ne savent plus faire autrement que de nous la transcrire en nombre de "terrains de foot"...Sommes-nous aussi bêtes que ça pour ne plus savoir nous visualiser des mètres carrés !!!
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