"Regarder, regarder encore, regarder toujours, c'est ainsi seulement qu'on arrive à voir."
Jean-Martin Charcot
dimanche 23 février 2014
Pensée Dominicale
4 commentaires:
Anonyme
a dit…
Bonjour à tous Cette citation est immortelle, depuis la nuit des temps, toujours d'actualité et s'accommode à beaucoup de sujets. Il en est du train train de la vie de tous les jours, tant que çà tourne il y de l'espoir, une façon de nous dire qu'il ne faut pas s'arrêter. Du rouage de l'horloge avec son clic- clac que seul l'horloger a l'oreille pour vous dire si elle boite ou pas. Et puis la cinquième roue du carrosse, ne nous encombrons pas des choses inutiles à mettre dans la caisse bleu. Le plus représentatif de la basse cour, le paon, le dindon, le tétras etc... l'homme lui n'a pas cette faculté pour séduire. Bonne journée Michel Dambon
Pardon à tous les férus de poésie... Mais aujourd'hui, je préfère vous épargner les "vers"-de-gris hauts en couleur des rimes en "ouille". La Rouille en Vadrouille qui Grouille cherchant des Embrouilles pour nous foutre la Trouille...n'aura pas de suite...Notre langue est chargée de mots plus ou moins élégants et me connaissant, cela pourrait dégénérer. Pardon aussi à tous les férus d'humour... Il ne me sera pas possible avec une citation pareille, choisie sûrement pour nous un soir de déprime, de laisser rentrer ne serait-ce qu'une fine particule de bonne humeur dans ce commentaire...Si vous avez des réclamations à faire... Pardon encore à ceux qui aiment voir enfoncer le couteau dans la plaie, ceux pour qui les mots corrosifs procurent des rictus jubilatoires... Pas de mots corrosifs donc, pas d'allusion non-plus au temps qui passe, à la déconfiture que nous subissons sans rechigner ou presque. Usés, rongés, grignotés, bouffés par l'érosion des années, nous nous tairons pour finir plein de vicissitudes de partout et de décrépitudes indéboulonnables. Grinçant au moindre mouvement, couinant de détresse, achetant burette après burette dans l'espoir de changer la nature des choses. Antirouille par ci, antirouille par là, antisèche et antitout seront bannis de notre vocabulaire et notre dictionnaire alourdi par toutes ces pages démoralisantes s'en trouvera allégé autant que "fer" se peut. Pardon enfin de ne faire aucune référence, mais alors là aucune, aux jeux de l'infortune... Laissons l'ani...mateur loucher sur la bimbo qui pousse à la roue en crachant sa poitrine débordante à la va comme j'te pousse, sortir sa phrase fatidique en ricanant "c'est kiki va gagner le gros lot ?"...Mais c'est quoi leur gros lot ? Un voyage en Syrie ? Un week-end à Kiev ? Une journée aux jeux Olympiques ? Non ! Le sujet du jour doit impérativement être traité en surface. Je ne peux l'aborder en profondeur sans risquer de le dégrader plus encore...Tout deviendrait alors poussière, limaille, poudre de Perlimpinpin et rognure de phrase. Le moindre mot inscrit sur cette page s'effriterait en un rien de temps, laissant sous nos ongles des lettres à la consistance épaisse et tenace, signes avant-coureurs d'un texte ne valant pas tripette. Par contre, je voudrais vous entretenir de mon petit tricycle d'enfant. Un petit tricycle bleu avec une toute petite benne derrière. Ce petit tricycle a partagé les premières années de ma vie aussi brillamment que possible, m'emmenant loin, très loin en roues libres, dans les allées du jardin... Après moi, il a fait le bonheur d'une ribambelle de cousins-cousines et pourtant, ce petit vélo des années soixante a su résister au temps et vous me croirez si vous voulez, il existe toujours ! Pas une seule marque de rouille n'entache sa tubulure ancestrale et même si depuis, les trois roues tournent dans le vide...Il est encore bien présentable ! Dommage pour vous que je ne puisse plus monter dessus...Sinon...
Marcel binet a dit que vous ne puissiez plus monter sur votre tricyle chère Brigitte je le conçois mais dans les années soixante il y avait déjà des photos..............et conservatrice comme vous devez l'être
Ah...Marcel ! Je reconnais bien là votre malice... Figurez-vous que cela m'avait traversé l'esprit...Vous me connaissez, je ne recule devant rien...où presque ! Laissez-moi un peu de temps pour fouiller dans mes photos jaunies et je vous promets qu'un de ces jours, votre curiosité sera satisfaite...
4 commentaires:
Bonjour à tous
Cette citation est immortelle, depuis la nuit des temps, toujours d'actualité et s'accommode à beaucoup de sujets.
Il en est du train train de la vie de tous les jours, tant que çà tourne il y de l'espoir, une façon de nous dire qu'il ne faut pas s'arrêter.
Du rouage de l'horloge avec son clic- clac que seul l'horloger a l'oreille pour vous dire si elle boite ou pas.
Et puis la cinquième roue du carrosse, ne nous encombrons pas des choses inutiles à mettre dans la caisse bleu.
Le plus représentatif de la basse cour, le paon, le dindon, le tétras etc... l'homme lui n'a pas cette faculté pour séduire.
Bonne journée
Michel Dambon
Pardon à tous les férus de poésie...
Mais aujourd'hui, je préfère vous épargner les "vers"-de-gris hauts en couleur des rimes en "ouille".
La Rouille en Vadrouille qui Grouille cherchant des Embrouilles pour nous foutre la Trouille...n'aura pas de suite...Notre langue est chargée de mots plus ou moins élégants et me connaissant, cela pourrait dégénérer.
Pardon aussi à tous les férus d'humour...
Il ne me sera pas possible avec une citation pareille, choisie sûrement pour nous un soir de déprime, de laisser rentrer ne serait-ce qu'une fine particule de bonne humeur dans ce commentaire...Si vous avez des réclamations à faire...
Pardon encore à ceux qui aiment voir enfoncer le couteau dans la plaie, ceux pour qui les mots corrosifs procurent des rictus jubilatoires...
Pas de mots corrosifs donc, pas d'allusion non-plus au temps qui passe, à la déconfiture que nous subissons sans rechigner ou presque.
Usés, rongés, grignotés, bouffés par l'érosion des années, nous nous tairons pour finir plein de vicissitudes de partout et de décrépitudes indéboulonnables.
Grinçant au moindre mouvement, couinant de détresse, achetant burette après burette dans l'espoir de changer la nature des choses.
Antirouille par ci, antirouille par là, antisèche et antitout seront bannis de notre vocabulaire et notre dictionnaire alourdi par toutes ces pages démoralisantes s'en trouvera allégé autant que "fer" se peut.
Pardon enfin de ne faire aucune référence, mais alors là aucune, aux jeux de l'infortune...
Laissons l'ani...mateur loucher sur la bimbo qui pousse à la roue en crachant sa poitrine débordante à la va comme j'te pousse, sortir sa phrase fatidique en ricanant "c'est kiki va gagner le gros lot ?"...Mais c'est quoi leur gros lot ? Un voyage en Syrie ? Un week-end à Kiev ? Une journée aux jeux Olympiques ?
Non ! Le sujet du jour doit impérativement être traité en surface. Je ne peux l'aborder en profondeur sans risquer de le dégrader plus encore...Tout deviendrait alors poussière, limaille, poudre de Perlimpinpin et rognure de phrase. Le moindre mot inscrit sur cette page s'effriterait en un rien de temps, laissant sous nos ongles des lettres à la consistance épaisse et tenace, signes avant-coureurs d'un texte ne valant pas tripette.
Par contre, je voudrais vous entretenir de mon petit tricycle d'enfant. Un petit tricycle bleu avec une toute petite benne derrière. Ce petit tricycle a partagé les premières années de ma vie aussi brillamment que possible, m'emmenant loin, très loin en roues libres, dans les allées du jardin...
Après moi, il a fait le bonheur d'une ribambelle de cousins-cousines et pourtant, ce petit vélo des années soixante a su résister au temps et vous me croirez si vous voulez, il existe toujours !
Pas une seule marque de rouille n'entache sa tubulure ancestrale et même si depuis, les trois roues tournent dans le vide...Il est encore bien présentable !
Dommage pour vous que je ne puisse plus monter dessus...Sinon...
Marcel binet a dit
que vous ne puissiez plus monter sur votre tricyle chère Brigitte je le conçois mais dans les années soixante il y avait déjà des photos..............et conservatrice comme vous devez l'être
Ah...Marcel !
Je reconnais bien là votre malice...
Figurez-vous que cela m'avait traversé l'esprit...Vous me connaissez, je ne recule devant rien...où presque !
Laissez-moi un peu de temps pour fouiller dans mes photos jaunies et je vous promets qu'un de ces jours, votre curiosité sera satisfaite...
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