


Avec cette configuration de chantier, la distance entre deux lignes de câble va en s'accroissant au fur et à mesure que l'on s'éloigne du pylône principal. A l'autre bout du câble (600 mètres sur ce chantier), les lignes sont très éloignées les unes des autres, et le travail des débardeurs au cheval est de rapprocher les bois (chênes et hêtres) à moins d'une quarantaine de mètres d'une ligne.
Cette association câble-mât et débardage au cheval n'est pas économiquement rentable dans toutes les situations, mais peut être considérée sur des chantiers spécifiques, comme celui de la forêt de Bellême.
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