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Couverture d'un des stud-books percherons, publié en 1907.
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Bézigue, propriété de Hartman Stockfarm Company, est mort pendant la traversée de l'Atlantique. Ce portrait illustre le stud-book de l'Association percheronne publié en 1907.
S'ensuit une bagarre juridique qui va durer 10 ans. Les 3 protagonistes de cette joute : Samuel D. Thompson, le Ministère de l'agriculture et les représentants de l'Association percheronne. Il serait fastidieux de résumer ces années où la confusion règne au sein de la race percheronne.
Toujours est-il qu'au milieu des années 1900, les chevaux percherons pouvaient être enregistrés dans 5 registres différents, au gré des propriétaires. Ces 5 registres étaient les suivants :
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The Amercian Breeders and Importers Percheron Registery Company (livre de l'Association percheronne qui a repris en partie la maîtrise des affaires à partir de 1905).
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The Thompson Book.
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The Mac Laughlin Registery (basé en Ohio).
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The Forney registery (basé en Ohio).
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The French Draft Stud-Book (émanation de l'Association du cheval normand, créée en 1876 à Chicago).
Les percherons importés de France pouvaient être enregistrés dans un ou plusieurs de ces livres généalogiques, et ils avaient en plus leurs papiers d'origine. Soit une possibilité théorique, pour un cheval importé, d'avoir 6 jeux de papiers.
Réorganisée en 1902 autour d'un petit nombre d'éleveurs, l'Association percheronne comptait 400 membres en 1905, année où Thompson a jeté l'éponge. En 1910, l'Association percheronne comptait 2824 membres... et un seul stud-book officiel.
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