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Photos prises pendant la réunion du 17 décembre à Margon, relative au devenir de la race percheronne.
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Certains, comme Samuel Gloria, semblaient angoissés quant à l'avenir du percheron.
Depuis ces deux échecs, l'idée de transférer les locaux de la SHPF vers d'autres lieux revient souvent, étayée par les propos du président lui-même, qui a déjà dit de manière publique qu'il serait favorable à un transfert.
Reconnaissons que les locaux actuels de la SHPF ne sont pas ceux que l'on pourrait espérer quand on évoque le Roi des chevaux de trait qui a conquis le monde. Vraiment rien qui fasse rêver, et surtout rien de fonctionnel.
Alors, que la SHPF quitte Nogent-le-Rotrou, après un vote d'approbation du Conseil d'administration si le changement doit se faire vers un autre département (d'après les statuts), pourquoi pas ?
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Franck Le Mestre en était tout étonné, en voyant la photo de couverture : "Mais où est passé mon échaffaudage ?".
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Josiane Lebègue a été très convaincante.
Lorsque le transfert des locaux de la SHPF est évoqué, on s'accorde à reconnaître deux points de chute possibles : la Maison du Parc naturel régional du Perche et le haras du Pin. Ces deux entités aux vocations différentes n'ont jamais émis d'opposition face à cette éventualité. Qui ne dit mot, consentirait éventuellement.
Le transfert vers le site du Parc permettrait à la SHPF de rester dans le Perche, pas trop loin de Nogent-le-Rotrou et dans un environnement naturel très percheron. La SHPF pourrait ainsi bénéficier de l'expertise des personnels du Parc dans la gestion de certains dossiers.
Aux arguments qui plaident en faveur de ce choix, s'oppose la possible perte d'indépendance de la maison-mère du percheron ou plutôt le peu d'indépendance qui lui reste . C'est un point qui ne peut être négligé. On sait très bien que les engagements pris à un moment donné ne pèsent pas lourd, le temps passant, surtout avec une structure qui peut devenir à certains moments un environnement à forts enjeux politiques.
Au sein de la race percheronne, ce rapprochement a quelques opposants farouches qui attribuent à tort ou à raison une part de responsabilité au Parc dans l'échec de la création de la Maison du percheron.
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Franck Lamy a souri en entendant certains commentaires.
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Raymond Brion a joint le geste à la parole.
Qu'en est-il d'un rapprochement avec le haras du Pin ? Le haras du Pin, qui n'est pas dans le Perche mais pas très loin, est perçu comme le haut-lieu du percheron, en particulier par les étrangers. Troisième site le plus visité de France, le haras du Pin est une vitrine incomparable offerte aux yeux du monde. A ces arguments forts, on peut opposer la très grande incertitude qui plane sur l'avenir du haras du Pin. Que sera-t-il devenu dans 10 ou 20 ans ? Y aura-t-il encore des chevaux percherons à demeure ? Rien n'est moins sûr.
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Patrick Laurent, qui vient de gagner à l'Euromillion, nous présente son chèque ! Hélas, non... ce n'est que le projet élaboré pendant la réunion.
Aujourd'hui plus que jamais, on ne peut que regretter que les rêves de Maison du percheron ne se soient jamais concrétisés.
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Chantale Masson a écouté avec attention Josiane Mulowsky faire un rapport circonstancié et précis de leur travail de groupe.
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