Comme tu ne le sais pas, Valérie, je suis entièrement responsable de la Pensée Dominicale (sauf quand JLD me censure parce que je pousse le bouchon un peu trop loin). Et donc, j'aime bien provoquer nos lecteurs... qui ont bien du mal à avoir des réactions, d'ailleurs... Sont souvent somnolents, nos lecteurs... Trop gâtés, sans doute ? En tout cas, merci de ta "réaction" qui m'enchante !
Sophocle a "sied" la branche sur laquelle il était assis, Mangeant par la feuille machisme et misogynie. Un rien les amuse ces quelques hommes qui, par défi, Pompent à l'égard des femmes la sève du mépris.
Sont-ils ridicules, ont-ils l'air abruti, Domination débile qui jamais ne les grandit. D'âpres regards hostiles sur fond de goujaterie Animent leur air viril au phallus abêti.
D'où leur vient cette haine et cette perfidie, Arrogant phénomène devenu allergie ? En repoussant leurs chaînes à grands coups de dénis, Ils rentrent dans l'arène comme des lions ennemis.
Et rugissent de plaisir sentant la proie venir, Et bavent du désir de la voir souffrir.
4 commentaires:
De grâce Jean-Léo, il vous sied mal de publier de tels propos sur votre blog, j'en reste sans voix...
Sylviane, dis quelque chose !!!
Comme tu ne le sais pas, Valérie, je suis entièrement responsable de la Pensée Dominicale (sauf quand JLD me censure parce que je pousse le bouchon un peu trop loin). Et donc, j'aime bien provoquer nos lecteurs... qui ont bien du mal à avoir des réactions, d'ailleurs... Sont souvent somnolents, nos lecteurs... Trop gâtés, sans doute ?
En tout cas, merci de ta "réaction" qui m'enchante !
Marcel Binet a dit
Quand j'ai vu ce matin la pensée dominicale je pensais à des réactions mais plutôt de Brigitte que de toi Valérie
Amitiés
Sophocle a "sied" la branche sur laquelle il était assis,
Mangeant par la feuille machisme et misogynie.
Un rien les amuse ces quelques hommes qui, par défi,
Pompent à l'égard des femmes la sève du mépris.
Sont-ils ridicules, ont-ils l'air abruti,
Domination débile qui jamais ne les grandit.
D'âpres regards hostiles sur fond de goujaterie
Animent leur air viril au phallus abêti.
D'où leur vient cette haine et cette perfidie,
Arrogant phénomène devenu allergie ?
En repoussant leurs chaînes à grands coups de dénis,
Ils rentrent dans l'arène comme des lions ennemis.
Et rugissent de plaisir sentant la proie venir,
Et bavent du désir de la voir souffrir.
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