vendredi 18 octobre 2013

Montmorillon, L'Utilisation En Marche

Jean-François Cottrant et ses ânes se sont beaucoup intéressés à l'herbe.

Gérard Coti et Manu Fleurentdidier ont porté ce Salon à bout de bras.

Venu d'Ariège, le cheval castillonnais a accompli sa part de travail.

Micro en main, Yves Decavèle a voulu en savoir plus sur le cheval castillonnais. Alors, il a posé des questions à Fabrice Bourianne.

Christèle de Freitas et ses bœufs Aubrac en imposent.

Nouveau ! Stéphanie Boudin voit la vie en couleur.

Thomas Duguy a profité du Salon pour essayer le Homesteader de Pioneer. C'est pour le maraîchage, Thomas, pas pour la vigne.

Avant-trains, porte-outil, bennes, décavaillonneuses, pulvérisateurs, colliers de travail, etc... La liste des nouveaux matériels destinés aux nouvelles utilisations du cheval de trait s'allonge de mois en mois. Il faut y voir un signe révélateur de l'état de bonne santé de ce qui était encore quasi inexistant il y a 20 ans.
Les Journées, les Salons dédiés à la traction animale se font aussi de plus en plus nombreux. Ce que l'on appelle désormais l'utilisation, au sens large, est le seul secteur du milieu du cheval de trait qui évolue actuellement d'une manière très positive. Il est aussi évident que ce secteur se structure et se professionnalise. Qu'il s'agisse du milieu des fabricants de matériels ou de celui des meneurs qui accompagnent les chevaux.
Tout le monde s'accorde à dire que l'avenir du cheval de trait ne pourra être assuré qu'à la condition de lui trouver une ou des justifications économiques. Une bonne raison, peut-être, pour accorder le maximum d'attention à cette utilisation que ce Salon de Montmorillon nous a prouvé être en marche.

Tifenn Vital et ses bœufs gascons avaient quitté le domaine Château Pape Clément pour quelques jours.

L'ancien, le porte-outil suisse Bucher présenté par Hippotese, et le nouveau, le POM, lui aussi porte-outil maraîcher conçu et présenté par Roger Fillon.

Manu Davignon surveille. Tout devrait bien se passer.

2 commentaires:

Brigitte Guillaume a dit…

Après avoir donné un grand coup de collier et jeté les idées révolues à la benne, l'utilisation s'est pris en charge et pulvérise des records de bonnes inventions, ce qui la place à l'avant-train sur tous les plans...
Prenons-en de la graine !

Alexis Hamon a dit…

Bonjour,

Le Castillonait et le mérens sont deux race liées non?

Il me semble que le casillonais avait deux type de chevaux, un plus haut et léger et l'autre plus petit et plus lourd, avec deux robes noir et bai autorisés pour les deux types. Puis certains on vu que le cheval plus léger se vendait bien pour le loisir, et de préférence noir.

Par conséquent ils ont sélectionnée les produits pour que la plupart des légers soient noir, et ne plus avoir de bai. Ils se sont ensuite séparé des plus lourds en créant une race à part entière: Le Mérens.

et maintenant il ne reste que très peux de catillonais.

C'est bien ça?

A bientot
Alexis Hamon