"Regarder, regarder encore, regarder toujours, c'est ainsi seulement qu'on arrive à voir."
Jean-Martin Charcot
dimanche 27 avril 2014
Pensée Dominicale
3 commentaires:
Anonyme
a dit…
Michel Dambon Après avoir lu un passage de la biographie de Mata Hari, on comprend très bien que c'était une femme de feu, je dirais même une femme canon. H21 était une séductrice de première ligne qui a peut-être abusée de sa beauté, de sa générosité hospitalière charnelle, qui a dépassé les frontières. Elle était une femme au sang chaud comme la braise avec beaucoup de sang froid, pour refuser de se faire lier les mains et bander les yeux devant ses bourreaux. Il est invraisemblable qu'elle soit tombée sous ces douze balles fatales, elle qui c'est faite aussi souvent mitrailler des yeux, par tous ces tirailleurs d'élites. Son corps meurtri par les balles a tout de même appris l'anatomie à la médecine,mais elle n'a jamais délivré ses secrets.
Ne nous trompons pas... Mata Hari ne s'est pas fait Hara-Kiri ! Elle a été fusillée le 15 octobre 1917, pour espionnage au profit de l'Allemagne. H21 n'est pas un méchant virus pathogène ! C'était le nom de code qu'elle aurait utilisé pendant cette Première Guerre mondiale. Quelques minutes avant sa mort, face au peloton d'exécution, elle a refusé le bandeau qu'on lui proposait de mettre sur ses yeux, et dans la brume du petit matin, elle a envoyé un baiser langoureux aux soldats qui allaient lui ôter la vie... Dernière tentative de séduction, dernier défi ! Savaient-ils en pointant leurs baïonnettes, que les charges retenues contre elle seraient à jamais controversées ? A la fois femme fatale et éprise de liberté, Se servant des hommes pour mener la grande vie, Maquillant le réel de grossiers mensonges, N'ayant aucune préoccupation du vrai et du faux, La danseuse savait séduire. Jusqu'au jour où le charme n'opéra plus... Ses amours deviendront tarifées et ses danses iront se terminer derrière la scène, à l'abri des regards pour quelques billets doux. Comment passer de l'idole à la femme soumise ? Comment devenir une espionne pour subvenir à ses besoins ? A-t-elle renseigné pour le compte de la France ou celui de l'Allemagne ? Après avoir choqué le tout-Paris par ses charmes dénudés, a-t-on vraiment la preuve de sa perfidie ? Autant de questions qui resteront en suspens... En 2001, la dernière requête en révision de son procès a été rejetée... L'histoire n'ira pas plus loin et la raison d'État gardera ses secrets d'alcôve... "Après tout, ce n'était qu'une cocotte", diront certains. "Elle ne pourra plus passer à la casserole", diront d'autres. Mis à part cet humour à deux balles, nous pouvons quand même retenir ceci : Malgré les apparences, s'être fait avoir pour douze balles, reste en l'occurrence... très cher payé !
3 commentaires:
Michel Dambon
Après avoir lu un passage de la biographie de Mata Hari, on comprend très bien que c'était une femme de feu, je dirais même une femme canon.
H21 était une séductrice de première ligne qui a peut-être abusée de sa beauté, de sa générosité hospitalière charnelle, qui a dépassé les frontières.
Elle était une femme au sang chaud comme la braise avec beaucoup de sang froid, pour refuser de se faire lier les mains et bander les yeux devant ses bourreaux.
Il est invraisemblable qu'elle soit tombée sous ces douze balles fatales, elle qui c'est faite aussi souvent mitrailler des yeux, par tous ces tirailleurs d'élites.
Son corps meurtri par les balles a tout de même appris l'anatomie à la médecine,mais elle n'a jamais délivré ses secrets.
Merci de toutes ces informations sur Mata Hari, monsieur Dambon !
Ne nous trompons pas...
Mata Hari ne s'est pas fait Hara-Kiri !
Elle a été fusillée le 15 octobre 1917, pour espionnage au profit de l'Allemagne.
H21 n'est pas un méchant virus pathogène !
C'était le nom de code qu'elle aurait utilisé pendant cette Première Guerre mondiale.
Quelques minutes avant sa mort, face au peloton d'exécution, elle a refusé le bandeau qu'on lui proposait de mettre sur ses yeux, et dans la brume du petit matin, elle a envoyé un baiser langoureux aux soldats qui allaient lui ôter la vie... Dernière tentative de séduction, dernier défi !
Savaient-ils en pointant leurs baïonnettes, que les charges retenues contre elle seraient à jamais controversées ?
A la fois femme fatale et éprise de liberté,
Se servant des hommes pour mener la grande vie,
Maquillant le réel de grossiers mensonges,
N'ayant aucune préoccupation du vrai et du faux,
La danseuse savait séduire.
Jusqu'au jour où le charme n'opéra plus...
Ses amours deviendront tarifées et ses danses iront se terminer derrière la scène, à l'abri des regards pour quelques billets doux.
Comment passer de l'idole à la femme soumise ?
Comment devenir une espionne pour subvenir à ses besoins ?
A-t-elle renseigné pour le compte de la France ou celui de l'Allemagne ?
Après avoir choqué le tout-Paris par ses charmes dénudés, a-t-on vraiment la preuve de sa perfidie ?
Autant de questions qui resteront en suspens...
En 2001, la dernière requête en révision de son procès a été rejetée... L'histoire n'ira pas plus loin et la raison d'État gardera ses secrets d'alcôve...
"Après tout, ce n'était qu'une cocotte", diront certains.
"Elle ne pourra plus passer à la casserole", diront d'autres.
Mis à part cet humour à deux balles, nous pouvons quand même retenir ceci :
Malgré les apparences, s'être fait avoir pour douze balles, reste en l'occurrence... très cher payé !
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