"Regarder, regarder encore, regarder toujours, c'est ainsi seulement qu'on arrive à voir."
Jean-Martin Charcot
dimanche 13 avril 2014
Pensée Dominicale
2 commentaires:
Brigitte Guillaume
a dit…
Comment vont les affaires ? Une question somme toute banale en apparence et sans intérêt au premier abord... Mais que cache-t-elle sous sa pelisse ? Est-elle aussi anodine et anecdotique qu'il n'y paraît ? Pour transpirer de la sorte...l'affaire doit bien avoir une raison ? Supputons... Est-elle juteuse ? A-t-elle à voir avec des transactions en liquide ou des arrosages automatiques ? Baignons-nous dans des complots, des financements occultes ?...à cet endroit ça sent déjà moins bon... Y-a-t-il trafics d'influence, gros scandales qui éclaboussent ?...splach ! Je n'ose y croire... Pourtant, je prends soin d'énumérer au compte-gouttes, pour éviter la douche froide. Trempons-nous dans des enregistrements suspects et des écoutes véreuses ? Des marchés, noyés dans la masse, sont-ils décrochés d'une manière douteuse ? Des parapluies et des parachutes sont-ils détournés de leur utilisation initiale ? Puahh ! Heuuu ! Beurk ! Autant d'onomatopées puantes de stupéfaction et de dégoût. Et dire que tout ça risque d'empirer et d'aller à vau-l'eau. Et pour cause... A l'heure des changements climatiques et du réchauffement de la planète, il faut nous attendre à voir déferler un raz de marée de saloperies et d'ordures qui vont remonter à la surface... Quelle horreur ! Il ne nous restera plus qu'à écoper et éponger avec nos petites mains...tout en résistant au chant des sirènes...Qui trempe ? Qui mouille ? C'est la fête à la grenouille !
Michel Dambon Si je comprends la citation je la résume en trois phrases. Toutes limites ont une fin, il est bon de ne pas dépasser les bornes, surtout avec les impulsifs, leur température monte très vite, il est préférable de s'arrêter avant le point de rosé. Quand l'affaire transpire, il est souvent trop tard, les pulsions sont élevées, on est fiévreux et moite, il suffit d'une goutte d'eau pour faire déborder le vase. Les médiats ont cette faculté, de savoir maintenir en température quelques vieux scandales, pour les faire éclore et les porter à ébullition au moment opportun, là les premières sueurs froides arrivent.
2 commentaires:
Comment vont les affaires ?
Une question somme toute banale en apparence et sans intérêt au premier abord...
Mais que cache-t-elle sous sa pelisse ?
Est-elle aussi anodine et anecdotique qu'il n'y paraît ?
Pour transpirer de la sorte...l'affaire doit bien avoir une raison ?
Supputons...
Est-elle juteuse ? A-t-elle à voir avec des transactions en liquide ou des arrosages automatiques ?
Baignons-nous dans des complots, des financements occultes ?...à cet endroit ça sent déjà moins bon...
Y-a-t-il trafics d'influence, gros scandales qui éclaboussent ?...splach !
Je n'ose y croire...
Pourtant, je prends soin d'énumérer au compte-gouttes, pour éviter la douche froide.
Trempons-nous dans des enregistrements suspects et des écoutes véreuses ?
Des marchés, noyés dans la masse, sont-ils décrochés d'une manière douteuse ?
Des parapluies et des parachutes sont-ils détournés de leur utilisation initiale ?
Puahh ! Heuuu ! Beurk !
Autant d'onomatopées puantes de stupéfaction et de dégoût.
Et dire que tout ça risque d'empirer et d'aller à vau-l'eau.
Et pour cause...
A l'heure des changements climatiques et du réchauffement de la planète, il faut nous attendre à voir déferler un raz de marée de saloperies et d'ordures qui vont remonter à la surface...
Quelle horreur !
Il ne nous restera plus qu'à écoper et éponger avec nos petites mains...tout en résistant au chant des sirènes...Qui trempe ? Qui mouille ? C'est la fête à la grenouille !
Michel Dambon
Si je comprends la citation je la résume en trois phrases.
Toutes limites ont une fin, il est bon de ne pas dépasser les bornes, surtout avec les impulsifs, leur température monte très vite, il est préférable de s'arrêter avant le point de rosé.
Quand l'affaire transpire, il est souvent trop tard, les pulsions sont élevées, on est fiévreux et moite, il suffit d'une goutte d'eau pour faire déborder le vase.
Les médiats ont cette faculté, de savoir maintenir en température quelques vieux scandales, pour les faire éclore et les porter à ébullition au moment opportun, là les premières sueurs froides arrivent.
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