vendredi 8 novembre 2013

On Nous A Envoyé

Madame Bovary.


Des photos étonnantes nous ont été envoyées par madame Emma Bovary. Cette Emma Bovary, installée dans le Perche depuis quelques semaines et enlisée dans l'ennui provincial, semble s'intéresser à la race percheronne. C'est ainsi qu'elle a souhaité rencontrer plusieurs éleveurs de percherons, comme le prouvent ces photos où l'on peut reconnaître un certain monsieur Claude venu lui présenter sa trépigneuse.
On ne peut que recommander la plus grande prudence à monsieur Claude, que l'on voit sur ces photos accompagné de ses enfants Évelyne et Jean-Jacques. Prudence donc, car madame Bovary a la réputation d'être bien dépensière et de ne rêver que de voyages et de vie trépidante.
Espérons que monsieur Claude n'aura pas, comme d'autres, été victime de cette Emma Bovary qui chercherait à tout prix à trouver de l'argent pour rembourser ses dettes accumulées chez monsieur Lheureux, son marchand d'étoffes. De toutes manières, avec la situation économique actuelle du monde percheron, on se doute bien que monsieur Claude y regarderait à deux fois avant de "dépanner" la Bovary par ailleurs croqueuse de notables.




Nathalie Danjou.


Le challenge Inter Départemental qui a eu lieu à l'occasion du National percheron au haras du Pin en septembre a permis de faire des rencontres.
Par exemple, Nathalie Danjou que l'on a pu voir dans l'épreuve montée et qui concourait pour l'équipe du Berry. Nathalie nous envoie aujourd'hui quelques photos de son percheron Unique d'Arzembouy. "Un coup de cœur", nous dit Nathalie.




Unique d'Arzembouy par Journalier d'Atout et Mégane 7 par Fabuleux.

3 commentaires:

Brigitte Guillaume a dit…

Extrait de Madame de Bovary :
" les comices agricoles "
" Les bêtes étaient là, le nez tourné vers la ficelle, et alignant confusément leurs croupes inégales...
Des charretiers, les bras nus, retenaient par le licou des étalons cabrés, qui hennissaient à pleins naseaux du côté des juments. Elles restaient paisibles, allongeant la tête et la crinière pendante, tandis que leurs poulains se reposaient à leur ombre, ou venaient les téter quelquefois..."
Gustave Flaubert.

Brigitte Guillaume a dit…

Pas de titre de noblesse pour "Madame Bovary"...le "de" est donc en trop !!!

Anonyme a dit…

Bonjour à tous
Tout en ayant le plus grand respect pour la famille LÉON on imagine le malaise dans le monde Percheron, les gueux sont de retour et la misère n'est pas loin
Marcel Binet