dimanche 7 septembre 2014

Pensée Dominicale


2 commentaires:

Anonyme a dit…

" laisse Pierre, c'est pour moi, c'est cadeau, ça me fait plaisir."
Et Thomas T. de régler au capilliculteur du Palais Bourbon la coupe de cheveux qu'il venait d'offrir à son ami Pierre G. au tarif député soit 15 euro sur 32, les 17 manquants étant versés par l'Assemblée Nationale pris sur un fond alimenté par?.........
Il lui devait bien ça, pour le proverbe turc que celui-ci lui avait glissé dans l'oreille ( et que l'on ne trouve pas sous le sabot d'un cheval ), en extrapolant: " le cheveu! c'est insuffisant, il faut aussi leur tondre la laine sur le dos, piquer leur chemise, les faire bosser le dimanche gratos, 39 heures payées 35 et partir en retraite à 72 ans." D'accord en cela avec E. M et " les pseudos scientifiques du néolibéralisme économique ( qui ) s'accrochent aux mots gris-gris de croissance et de compétitivité "*( Edgar je t'aime ! ).
Et Thomas T. d'opiner doctement du chef bien que ne se sentant pas concerné; Lui, en charge du commerce extérieur, ancien vice président de la commission d'enquête sur l'affaire Cahuzac à suffisamment donné, pense t'il, de sa personne pour s'octroyer quelques passe - droits.
Serais-je tetracapilosectomiste ? Trouvez-vous cela capillotracté ?


*Edgar Morin " Le1" du 03 9 2014
Bernard Demarle

Brigitte Guillaume a dit…

Aïe ! Ça tire...
Se faire coiffer sur le poteau n'est pas donné à tout le monde.
Souvent, des salons improvisés fleurissent au beau milieu des foires et des concours, au vu et au su de tous.
Pas de fers à friser, pas de bigoudis, pas d'accessoires superflus... seulement des brosses, des fils de couleur et quelques paires de ciseaux...
Si ce type de prestation est étudiée au peigne fin par tous les détenteurs de chevaux Percherons, c'est qu'ils ont tout à y gagner.
Bien sûr, il faut éviter à tout prix les coupes à tout crin de tout poil, qui pourraient d'une manière ou d'une autre, faire qu'un Percheron ne ressemble plus à un Percheron à la fin de la séance. Eh oui, gare au mauvais goût !
Ceci étant dit, il y a toujours une bonne volonté pour agripper une crinière en bataille, toujours une main tendue pour démêler un fil à retordre et des participants plus habiles que d'autres, ne comptant pas leur temps, pour aider les moins doués au doigt et à l'œil.
Justement, puisque dans ce domaine, il n'est pas question d'argent, constatons que chez ces coiffeurs là, seuls les efforts finissent pas payer...