dimanche 26 octobre 2014

Pensée Dominicale


2 commentaires:

Brigitte Guillaume a dit…

Je suis dans de beaux draps !
Depuis un moment déjà, je vis un véritable cauchemar éveillé...
Mon oreiller tombe en panne pour obtenir réparation.
Sans arrêt, je ramène la couverture à moi.
Je suis obligée de garder le lit de peur qu'il ne se sauve.
En cherchant le sommeil, j'ai attrapé des crampes.
Je baille de partout et je n'ai pas de ressort.
Quand le soleil se lève, j'ai la couette en bataille et le traversin gétorix.
Et ce n'est pas tout...
Comme si cela ne suffisait pas, au saut du lit je me prends les pieds dans le tapis et je tombe de fatigue.
Tout ça pour quoi ?
Parce que j'ai voulu jouer "La princesse au petit pois"... Eh oui !
Mais attention, n'est pas princesse qui veut !
À travers les vingt matelas et les vingt édredons en plume que j'ai superposé... MOI, je ne l'ai pas senti du tout ce fichu petit pois !
Du coup, je l'ai gardé en travers la gorge et si ça continue, il va être chiche de me monter au cerveau ! Alors je veille au grain... et je ne dors plus !
Si je peux me permettre de vous faire une suggestion puisque la nuit porte conseil : Avant de vouloir jouer dans la couronne des grands, assurez-vous toujours d'être "à la hauteur" ! Sinon, je vous le dis, les petits pois risquent vraiment de vous mener la vie dure et de vous peser sur la conscience...

Anonyme a dit…

Et voici notre rubrique:" qu'est ce qu'un bon pieu en somme? "
Melons ou noyaux de pêches, la belle affaire!
On reconnaît un bon lit à la profondeur de la rivière sise en son mitan , et au nombre de percherons pouvant y boire ensembles, lonla.
Pour le grand sommeil, vous trouverez chez les bons revendeurs des divans profonds comme des tombeaux, avec cadre en sapin, qui seront parfaits avec quelques chrysanthèmes sur des étagères pour aménager l'antichambre du grand départ.
L'avis de notre expert François Béranger :
" à partir, je préfère les rivages ombreux
de notre grand lit aux draps bleus
où l'on découvrait des merveilles."
Le poète à toujours raison.
Bernard Demarle